Critique

Le nanar de la semaine: Un moment d’égarement

Vincent Cassel, Lola Le Lann et François Cluzet. © DR
Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Remake du film éponyme de Claude Berri, Un moment d’égarement surfe sur la vague de Perfect Mothers d’Anne Fontaine.

Deux amis de toujours, Antoine et Laurent (François Cluzet et Vincent Cassel), embarquent pour une villégiature corse flanqués de leurs filles respectives, Louna, 17 ans, et Marie, 18. La suite est cousue de gros fil scénaristique, et lorsque Louna séduit Laurent, les embrouilles s’invitent forcément à la fête. Remake du film éponyme de Claude Berri, Un moment d’égarement surfe sur la vague de Perfect Mothers d’Anne Fontaine, le trouble en moins et l’épaisseur de trait d’un roman-photo en sus. Non content de filmer le tout à la truelle, Richet (Mesrine) réussit à faire déjouer Cluzet, tout en maniant l’humour involontaire à grand renfort de répliques définitives, genre: « Les sangliers, c’est comme les femmes. A la pleine lune, ils deviennent fous. »

DE JEAN-FRANÇOIS RICHET. AVEC FRANÇOIS CLUZET, VINCENT CASSEL, LOLA LE LANN. 1H45. SORTIE: 24/06.

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