Critique

[critique ciné] On est fait pour s’entendre: la surdité sous un filtre inattendu

Si Antoine ne s’entend plus très bien avec les autres, c’est tout simplement car il ne les entend plus très bien.

Antoine s’entend moins bien avec ses proches, que ce soit ses élèves, ses collègues ou sa compagne. On s’aperçoit rapidement que si Antoine ne s’entend plus très bien avec les autres, c’est tout simplement car il ne les entend plus très bien. On est fait pour s’entendre, troisième film en tant que réalisateur du comédien français Pascal Elbé, aborde de front un sujet peu traité au cinéma, la surdité, en le traitant sous un filtre inattendu, celui de la comédie romantique. Mais outre l’agréable surprise de ce mariage des genres, et le personnage pas inintéressant de veuve légèrement acariâtre confié à une Sandrine Kiberlain qui semble s’en délecter, on reste en terrain connu, avec un développement somme toute assez attendu.

Comédie romantique. De Pascal Elbé. Avec Pascal Elbé, Sandrine Kiberlain, François Berléand. 1h33. Sortie: 24/11. **(*)

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content