Critique

[critique ciné] Antlers (Affamés) : crescendo de tension

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Située dans une petite ville minière de l’Oregon, l’action suit une institutrice et son frère policier qui, alertés par les dessins inquiétants d’un jeune écolier, vont se retrouver confrontés à une étrange créature, surgie de la nuit des temps.

Révélé il y a douze ans par Crazy Heart, l’éclectique Scott Cooper s’essaie, après le film de gangsters avec Black Mass ou le western pour Hostiles, au film d’horreur avec Antlers.

Située dans une petite ville minière de l’Oregon, l’action suit une institutrice (Keri Russell) et son frère policier (Jesse Plemons) qui, alertés par les dessins inquiétants d’un jeune écolier (Jeremy T. Thomas), vont se retrouver confrontés à une étrange créature, surgie de la nuit des temps.

Guillermo Del Toro produit ce film qui respecte son cahier des charges, plongée dans les ténèbres d’une Amérique en déshérence que le réalisateur orchestre en un crescendo de tension aux intentions métaphoriques brumeuses, à l’image de l’atmosphère d’ensemble.

De Scott Cooper. Avec Keri Russell, Jesse Plemons, Jeremy T. Thomas. 1 h 39. Sortie: 27/10. ***

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