Critique | Musique

The Soft Moon – Zeros

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ROCK | Le multi instrumentiste Luis Vasquez a momentanément congédié son groupe de tournée et retrouvé le plaisir solitaire du studio.

THE SOFT MOON, ZEROS, DISTRIBUÉ PAR CAPTURED TRACKS/KONKURRENT. ***

ROCK | On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. Deux ans après la sortie de son premier album sobrement intitulé The Soft Moon, le multi instrumentiste Luis Vasquez a momentanément congédié son groupe de tournée et retrouvé le plaisir solitaire du studio. Le résultat, le mal nommé Zeros, est un disque dur, obscur et abyssal qui se promène dans les dédales de la cold wave, de la musique à synthé, du goth et du post-punk. Un album en somme qui respire la bonne humeur de Suicide, Bauhaus et des années 80 qui en avaient dans le pantalon. Le tout est post-apocalyptique, angoissant, claustrophobe et forcément éclairé au néon. Great taste, Zero sugar…

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