Critique | Cinéma

Nowhere Special, un film d’une grande puissance émotionnelle

3,5 / 5
© National
3,5 / 5

Titre - Nowhere Special

Genre - Drame

Réalisateur-trice - Uberto Pasolini

Casting - James Norton, Daniel Lamont, Carol Moore

Durée - 1h36

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Depuis que sa femme les a quittés peu après la naissance, John (James Norton), un laveur de vitres dans la trentaine, s’est consacré à l’éducation de son fils de 4 ans, Michael (Daniel Lamont), un lien aussi profond qu’inaltérable les unissant. Le jour où il apprend n’avoir plus que quelques mois à vivre, il lui faut pourtant se lancer à la recherche de la famille d’adoption idéale, tout en tentant de préserver l’enfant de la dureté de la situation. Le sujet était objectivement casse-pattes, Uberto Pasolini (Une Belle Fin, Bel Ami…)s’en empare à l’abri du pathos comme de la mièvrerie. Pour signer un petit bijou de film, modèle de pudeur et de retenue auquel l’alchimie entre Daniel Lamont, irrésistible, et James Norton, d’une rare justesse, confère une grande puissance émotionnelle. Modeste, délicat et bouleversant.

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