Critique | Musique

State Radio – Rabbit Inn Rebellion

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

ROCK | Quatrième album pour ce trio de Boston emmené par le chanteur multi-instrumentiste Chadwick Stokes. On dirait des cousins de Pearl Jam qui auraient longuement écouté Led Zep.

STATE RADIO, RABBIT INN REBELLION, DISTRIBUÉ PAR NETTWERK. ***

ROCK | Quatrième album pour ce trio de Boston emmené par le chanteur multi-instrumentiste Chadwick Stokes. On dirait des cousins de Pearl Jam qui auraient longuement écouté Led Zep, poussant des idées de justice sociale et politique. Il est donc question de guerre sans fin (Take Cover), de possédants sans coeur (Big Man) avec des riffs de guitare, pas forcément originaux, mais nettoyant les scories d’une course éperdue au profit. Même si le groupe ne surprend pas vraiment -excepté peut-être dans un tempo lent à la Adelaïde, chanson d’amour-, l’époque est suffisamment molle du genou pour qu’une telle giclée rock’n’roll évite un branlage binaire supplémentaire. Sans être le MC5 -hélas-, ça fait sens et pourrait symboliser le retour d’une musique lourde et engagée, comme en 68!

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