Critique | Musique

King Khan – Murderburgers

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ROCK

Distribué par Khannibalism. ***(*)

King Khan - Murderburgers

Quand il n’enregistre pas des disques avec BBQ et/ou ses potes les Black Lips (Almighty Defenders) et ne fait pas péter les cuivres avec les Shrines, quand il ne lit pas les cartes (ce qu’il a prévu de faire d’ici quinze jours au festival Le Guess Who?) et ne coupe pas des ronds dans ses calbutes pour s’aérer les fesses en concert (fesses que Lindsay Lohan a vu de très très près il y a quelques années au festival de Cannes), King Khan lance son label Khannibalism, s’y amuse avec Ian Svenonius (The Make-Up) et s’attaque à William S. Burroughs. Ici entouré des Gris-Gris, le plus fêlé des rockeurs indiens berlino-canadiens fait son Dylan (It’s Just Begun), se la joue proto-punk (Born in 77), retourne se promener au garage (It’s A Lie) et reprend son Born To Die. Strip-tease intégral.

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