Critique | Musique

Douglas Firs – Shimmer & Glow

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Il a beau avoir déjà roulé sa bosse, épaulé le Bony King of Nowhere à la guitare et sacrément fait son trou au nord du pays, le jeune singer/songwriter flandrien est encore relativement inconnu au sud de la frontière linguistique.

DOUGLAS FIRS, SHIMMER & GLOW, DISTRIBUÉ PAR GENTLE RECORDINGS/UNIVERSAL. ***

LE 02/03 AU CACTUS (BRUGES), LE 21/03 AU CC DE BORNEM…

POP | Certains artistes n’aiment pas le changement. Usent leurs quelques mélodies jusqu’à la corde et enferment leurs albums, quand ce n’est pas leur carrière, dans un style, un format qui dans certains cas d’ailleurs ne leur convient même pas. Cet état d’esprit frileux, voire calculateur, Douglas Firs en prend le parfait contre-pied avec un premier disque libéré. Douglas Firs, c’est un petit nom de scène. Parce que de son propre aveu, « ça sonne nettement mieux que Gertjan Van Hellemont ». Il a beau avoir déjà roulé sa bosse, épaulé le Bony King of Nowhere à la guitare et sacrément fait son trou au nord du pays, le jeune singer/songwriter flandrien est encore relativement inconnu au sud de la frontière linguistique.

Gertjan a été profondément marqué par Tom Petty, Neil Young, Bob Dylan, Ryan Adams… Et ça s’entend sur ce premier album très américain enregistré à Hoogeloon, aux Pays-Bas, avec des musiciens du Bony King, de Balthazar et de Trixie Whitley (oui, la fille de Chris). Bram Vanparys et Jinte Deprez assurent même les choeurs plus souvent qu’à leur tour sur la plupart des onze titres au folk rock charmant de ce talent en devenir. A suivre.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content