Kate Bush, la sorcière du son

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Repérée par David Gilmour, elle est un peu la fille des Pink Floyd. Puis aussi la mère de Björk, de Tori Amos et d’Alison Goldfrapp. Première femme autrice compositrice à se hisser en tête des hit parades européens, Kate Bush révolutionnait à 20 ans les codes de la pop. Si elle avait écrit une centaine de chansons à treize piges, la chanteuse à la voix suraiguë n’a sorti qu’une dizaine d’albums en quatre décennies. Quatre décennies placées sous le signe de la recherche sonore et de l’expérimentation. La Française Claire Laborey tire le portrait de cette curieuse icône qui se qualifie de  » plus timide des mégalos« . Elle raconte la gamine qui a grandi dans une ferme au sud de Londres, la jeune femme qui s’est imposé une discipline de fer et l’artiste qui a enfanté une poésie de l’étrange teintée de fantastique et créé des univers et des spectacles exceptionnels et prescripteurs. Un chouette petit docu truffé d’anecdotes où l’organisatrice des Wuthering Heights Day à Berlin côtoie le biographe de Kate, David Gilmour et des interviews d’époque.

Documentaire de Claire Laborey.

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