Juste une balle perdue

 » Elle s’appelait Ana et j’ai su dès le départ que ça allait merder. Tout est allé très vite. On avait débarqué à la fête vers minuit. Mon pote Chab était très à l’aise, moi pas du tout. Il connaissait tout le monde, embrassait, complimentait, riait quand il fallait, interpellait les gens par leur prénom en promettant de les rappeler. »

De Joseph d’Anvers, éditions Rivages, 384 pages.

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