Ça raconte Sarah

« Dans la pénombre de trois heures du matin, j’ouvre les yeux. Je meurs de chaud, mais je n’ose pas me lever pour ouvrir la fenêtre un peu plus grand. Je suis couchée dans son lit, dans cette chambre que je connais si bien, près de son corps enfin endormi après une longue lutte contre les angoisses qui mangent tout, la tête, le ventre, le coeur. »

De Pauline Delabroy-Allard, éditions Minuit/Double, 192 pages.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content