Critique

[À la télé ce soir] Trepalium

Sarah Stern et Ronit Elkabetz © Kelija/Jean-Claude Lother
Guy Verstraeten
Guy Verstraeten Journaliste télé

Etalée sur six épisodes, Trepalium nous emmène dans un futur proche, dans une époque où une césure brutale s’est installée entre actifs et sans-emploi.

Ces derniers, ultramajoritaires, ont été confinés derrière un mur de séparation, la Zone. Pour apaiser les tensions qui germent entre les deux espaces, la Première ministre de la Ville décide de mettre 10.000 habitants de la Zone au service des actifs. Et la jeune Izia Katell de commencer à travailler pour Ruben Garcia, ingénieur chez Aquaville, l’entreprise dominante dans la Ville… Il y a un an, nous avions pu nous rendre sur le tournage de Trepalium, dans les travées de la Bibliothèque nationale de France. A l’époque, la seule crainte que nous inspirait cet ambitieux projet de série d’anticipation, c’était qu’il souffre d’un manque de moyens. Notre compatriote Vincent Lannoo (Strass, Les Ames de papier) se voulait à cet égard bien rassurant. A l’arrivée, si les costumes et les décors -plutôt créatifs- tiennent relativement bien la route, c’est au niveau du script et de la justesse du jeu que le bât blesse. Dommage.

SÉRIE ARTE RÉALISÉE PAR VINCENT LANNOO. AVEC LÉONIE SIMAGA, PIERRE DELADONCHAMPS, AURÉLIN RECOING.

Dès ce jeudi 11 février à 20h55 sur Arte.

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