Critique

[À la télé ce soir] Priscilla, folle du désert

Priscilla, Queen of the Desert de Stephan Elliott. © DR
Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

Felicia et Mitzi sont deux travestis de Sydney. « Danseuses » de leur état, ils sont engagés avec Bernadette, un transsexuel, pour se produire dans un cabaret.

Coutumier de personnages à la virilité quasi ostentatoire, Terence Stamp, la cinquantaine bien sonnée, est littéralement bluffant dans un rôle totalement à contre-emploi, celui d’un transsexuel embarqué à bord d’un bus, en compagnie de deux amis drag queens, pour une improbable virée baroque au coeur de l’outback australien. Dans un film au franc-parler salutaire, peu avare en excentricités de tous poils et autres scènes d’anthologie. Voir, notamment, le lancer vaginal de balles de ping-pong.

DE STEPHAN ELLIOTT; AVEC TERENCE STAMP, HUGO WEAVING. 1994.

Ce dimanche 25 décembre à 22h45 sur La Deux.

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