Critique

[À la télé ce soir] Barbarella

Jane Fonda (Barbarella) © Paramount Pictures
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

La science-fiction est au menu d’Arte pour les semaines à venir dans un cycle comme la chaîne franco-allemande en a le secret.

Pour lancer ce programme, voici donc ce Barbarella que Roger Vadim adapta il y a une petite cinquantaine d’années de la bande dessinée de Jean-Claude Forest. Tourné à Rome, le film nous emmène en l’an 4.000, dans un futur où le mot d’ordre « Faites l’amour, pas la guerre » est mis en pratique de manière un peu spéciale. Plus d’armes -elles sont prohibées, obsolètes- mais une sexualité se pratiquant… avec de petites pilules. L’arrivée d’une superbe créature venue du passé en mission spéciale ne passera pas inaperçue dans ce contexte particulier. D’autant qu’elle est incarnée par une Jane Fonda plus sexy que jamais, et qui inspire Vadim comme l’avait fait avant elle la Brigitte Bardot de son « scandaleux » Et Dieu créa la femme. Kitsch en diable, et bien amusant!

FILM DE SCIENCE-FICTION DE ROGER VADIM. AVEC JANE FONDA, JOHN PHILIP LAW. 1968. ***(*)

Ce lundi 8 août à 20h55 sur Arte.

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