Critique | Musique

The Growlers – Hung at Heart

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

ROCK | Il se sera fait attendre. Le temps déjà pour les lascars de comprendre que Dan Auerbach n’était pas l’homme de la situation à la production.

The Growlers, Hung at Heart, distribué par Fatcat/Konkurrent. ****

Le 12/4 chez Madame Moustache.

ROCK | Il se sera fait attendre. Le temps déjà pour les lascars de comprendre que Dan Auerbach n’était pas l’homme de la situation à la production (le Black Key voulait leur ouvrir les portes du succès et la serrure d’un compte en banque bien garni). Hung at Heart, le troisième album des Growlers, arrive dans les bacs le cheveu au vent et la planche sous le bras. Les Growlers disent faire du goth de plage. Leur psyché surf sixties, leur goût pour le garage lo-fi et la voix de Brooks Nielsen font se bousculer les comparaisons. Allah Las, The Coral, les Walkmen, Bob Dylan… Les mecs de Long Beach, en Californie, ont les tubes qu’il faut pour faire des vagues. One Million Lovers en tête. En tête et pas près d’en sortir.

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