Critique

Toy Story

© DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

L’idée des jouets qui s’éveillent à la vie dès que leur propriétaire est absent n’est pas neuve, mais trouve une illustration inspirée dans le film de John Lasseter.

Film d’animation de John Lasseter. 1995
Le samedi 16 mars à 20h30 sur AB3

C’est assurément une date dans le cinéma d’animation: le premier grand film en images de synthèse, la première réussite majeure d’une technologie affichant son potentiel énorme, en même temps que le premier sommet d’un studio qui va devenir la nouvelle référence, plus encore que Disney… auquel Pixar s’alliera d’ailleurs un peu plus tard! La chambre d’Andy, un garçonnet plutôt sympathique, est le théâtre d’un conflit lorsque Woody le cow-boy, son jouet préféré, voit débarquer un concurrent sous la forme d’un astronaute appelé Buzz L’Eclair. Woody craindra de perdre sa position de favori, Buzz voudra s’imposer, mais la confrontation mènera finalement à une belle amitié… Scénarisé de très habile manière, Toy Story bénéficie d’une réalisation superbe, pleine d’invention, animant l’inanimé avec un art et une maîtrise technique qui laissent à la fois comblé et impressionné. A voir et à revoir, un film fondateur, dont les suites seront elles aussi formidables.

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LOUIS DANVERS

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