Critique | Musique

Toy Love – Live at the Gluepot

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

PUNK | Né sur les cendres de The Enemy, il n’a sorti qu’un seul album mais a régné pendant 20 mois, entre janvier 79 et septembre 80, sur le rock néo-zélandais qui déménage.

TOY LOVE, LIVE AT THE GLUEPOT, DISTRIBUÉ PAR GONER RECORDS/KONKURRENT. ***

PUNK | Né sur les cendres de The Enemy (rien à voir avec le piètre groupe de gamins anglais formé à Coventry), il n’a sorti qu’un seul album mais a régné pendant 20 mois, entre janvier 79 et septembre 80, sur le rock néo-zélandais qui déménage. D’accord, un pays de 4 millions et demi d’habitants qu’on surnomme les kiwis. N’empêche, ce Live at the Gluepot va permettre de réévaluer la contribution de Toy Love à l’histoire du punk sans crête. Enregistré à Auckland les 12 et 13 septembre 80, ce set d’une heure et de 25 titres est bourré d’énergie, de hargne et de tension. Avec évidemment le son cracra de rigueur. A ranger à côté de vos disques des Buzzcocks, des Damned et des Ramones. One, two, three, four…

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