Critique | Musique

Jim James – Regions of Light and Sound of God

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Après un EP sous l’étiquette Yim Yames et un album avec les Monsters of Folk Conor Oberst, Mike Mogis, et Matt Ward, le leader de My Morning Jacket s’ose enfin à son premier album solo.

JIM JAMES, REGIONS OF LIGHT AND SOUND OF GOD, DISTRIBUÉ PAR V2. **

POP | Après un EP sous l’étiquette Yim Yames et un album avec les Monsters of Folk Conor Oberst, Mike Mogis, et Matt Ward, le leader de My Morning Jacket s’ose enfin à son premier album solo et joue de pratiquement tous les instruments sur ce Regions of Light and Sound of God. Enregistré dans son home studio de Louisville et inspiré par God’s Man de Lynd Ward (1929), roman graphique en gravure sur bois, ce disque éclectique à tendance rêveuse mêlant pop, funk, folk traite avec de rares hauts (State of the art) et beaucoup de bas (Dear One, Actress, All Is Forgiven et A New Life) d’amour, de création, de corruption et de tentation. Souvent mièvre et franchement dispensable.

WWW.JIMJAMES.COM

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