Critique | Musique

Leatherman – Romania

Laurent Hoebrechts
Laurent Hoebrechts Journaliste musique

COVER | A ma gauche, Jean-Marc Lederman, producteur, claviériste, fondateur de The Weatherman, héros dada-new wave des années 80. A ma droite, Jacques Duvall, autre tête brûlée de la pop d’ici, plume culte relancée par ses collaborations avec Miam Monster Miam.

LEATHERMAN, ROMANIA, DISTRIBUÉ PAR MARTYRS OF POP. ***

COVER | A ma gauche, Jean-Marc Lederman, producteur, claviériste, fondateur de The Weatherman, héros dada-new wave des années 80 (Poison), aujourd’hui franc-tireur planqué dans son studio bruxellois. A ma droite, Jacques Duvall, autre tête brûlée de la pop d’ici, plume culte relancée par ses collaborations avec Miam Monster Miam. Avec Leatherman, les deux s’associent pour des reprises minimalistes et synthétiques. Au programme notamment, le Cry To Me de Solomon Burke, I Will Survive de Gloria Gaynor, mais aussi le Looking For You de Nino Ferrer. Le traitement est souvent radical, le duo plongeant les originaux dans des climats nocturnes et décharnés, le sourire toujours en coin. Avec Duvall sur le fil, entre chant et gémissements gutturaux inquiétants.

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