Critique

House at the End of the Street

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Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

HORREUR | Son titre louche éhontément vers Wes Craven et Ruggero Deodato, mais le film n’effleure pas une seule seconde la violence malsaine du premier ni même le sulfureux parfum de mauvaise série B du second.

DE MARK TONDERAI. AVEC JENNIFER LAWRENCE, ELISABETH SHUE, MAX THIERIOT. 1H41. SORTIE: 23/01. *

HORREUR | Son titre louche éhontément vers Wes Craven (The Last House on the Left) et Ruggero Deodato (The House on the Edge of the Park), mais le film n’effleure pas une seule seconde la violence malsaine du premier ni même le sulfureux parfum de mauvaise série B du second. L’histoire est connue, qui voit une mère (Elisabeth Shue, rayonnante comme elle ne l’avait pas été depuis longtemps) et sa fille (Jennifer Lawrence, toute en formes généreuses moulées au maximum) emménager à côté d’une bâtisse inquiétante au passé sanglant -lequel n’attendait bien entendu qu’elles pour refaire surface. Incidemment, ce House at the End of the Street reprend à son compte une certaine idée, désespérément clean, de l’horreur, à base d’images épileptiques et délavées, d’effets sonores retentissants et d’un sens de la mise en scène pas loin d’être inexistant. Le tout emballé dans une espèce de romantisme adolescent qui, là pour le coup, fait vraiment peur.

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