Critique | Musique

Meshell Ndegeocello – Pour une âme souveraine (A dedication to Nina Simone)

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

FUNK | Signée chez les Parisiens de Naïve -d’où le titre partiellement français-, la chanteuse afro-américaine rend hommage à sa glorieuse aînée, femme blessée aux interprétations incantatoires.

MESHELL NDEGEOCELLO, POUR UNE ÂME SOUVERAINE – A DEDICATION TO NINA SIMONE, DISTRIBUÉ PAR PIAS. ****

FUNK | Signée chez les Parisiens de Naïve -d’où le titre partiellement français-, la chanteuse afro-américaine rend hommage à sa glorieuse aînée, femme blessée aux interprétations incantatoires. Meshell emprunte peut-être la seule voie praticable sans risquer une surenchère inutile: amener la douleur et l’intensité originales des titres de Nina Simone -souvent écrits par d’autres- dans un territoire différent, loin de la colère et de l’imprécation. Hormis quelques moments qui groovent, on est donc jeté dans un coton d’hypnose soul, aux résurgences funky (See Line Woman), d’une ferveur égalant ses subtilités. Egalement de la partie, Lizz Wright, Sinéad O’Connor et Cody Chesnutt, seul mec d’un magnifique disque de femmes…

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