Critique | Musique

Arno – Future Vintage

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

ROCK | Le meilleur ennemi d’Arno, c’est lui-même, sa voix, son idiosyncrasie, ses tics de chant ou de texte, et cette formidable capacité à s’autoparodier.

ARNO, FUTURE VINTAGE, DISTRIBUÉ PAR PIAS. ***

ROCK | Le meilleur ennemi d’Arno (lire aussi le Focus du 21 septembre), c’est lui-même, sa voix, son idiosyncrasie, ses tics de chant ou de texte, et cette formidable capacité à s’autoparodier. C’est toujours partiellement vrai avec ce xième album -son douzième solo studio depuis 1986- même si le Tom Waits ostendu possède une étonnante faculté à renaître de ses cendres chaudes. Ici, en partie grâce au producteur John Parish qui lui concocte un disque certes court -34 minutes- mais vivifiant, charnel et du meilleur biotope sonore. Cela commence bien via une belle raclure pop (Show Of Life) et se termine moins spectaculairement par le dispensable Ostend Dub. Entretemps, il éructe le rock et fait l’amoureux éconduit par les turbulences du monde, plutôt bien dirions-nous.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content