Critique | Musique

Lou Doillon – Places

Philippe Cornet
Philippe Cornet Journaliste musique

ROCK | « Quand, sur Real Smart, arrivent toutes les nappes instrumentales que Daho a enregistrées en studio, ce sont les nappes de ma névrose. »

LOU DOILLON, PLACES, DISTRIBUÉ PAR UNIVERSAL. ****

ROCK | « Quand, sur Real Smart, arrivent toutes les nappes instrumentales que Daho a enregistrées en studio, ce sont les nappes de ma névrose. » Le titre en question clôt un album où douleurs et fissures d’ordre amoureux naviguent dans des couches de mélancolie assumée. Doillon renoue avec la sensation des désirs contrariés, celle divinement pratiquée chez Antony & the Johnsons ou Lou Reed 70’s. Daho lui construit un mur du son dégraissé, mix de groove funkysant et de poésie rock à la Patti Smith -autre influence prégnante- mais c’est bien Lou Doillon, sa voix étonnamment touchante, son sens de l’intimité et de la mélodie, qui mérite toute notre approbation…

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