Critique | Musique

Jason Lytle – Dept. of Disappearance

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | S’il a réchauffé le coeur des fans de Grandaddy avec une tournée de reformation qui s’est arrêtée au Pukkelpop, c’est en compagnie d’un deuxième album solo que Jason Lytle se manifeste aujourd’hui.

JASON LYTLE, DEPT. OF DISAPPEARANCE, DISTRIBUÉ PAR ANTI/PIAS. ***

POP | S’il a réchauffé le coeur des fans de Grandaddy avec une tournée de reformation qui s’est arrêtée au Pukkelpop en août dernier, tirant avec succès sur les cordes de notre nostalgie, c’est en compagnie d’un deuxième album solo que Jason Lytle se manifeste aujourd’hui. Ecrit, joué et enregistré par Lytle Big Man, Dept. of Disappearance est tout ce qu’il y a de plus honorable mais ne soutient pas la com- paraison avec la musique à papy. Il a beau reposer sur la recette que le natif de Modesto a toujours servie, une voix réconfortante, des mélodies ascensionnelles, un mélange spleenesque de pop rêveuse et d’indie rock teinté de vieux synthés, ce disque est un peu trop pépère et convenu pour entièrement nous combler. Sympa.

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