Critique

[critique ciné] Pierre Lapin 2: Panique en ville, on ne change pas une formule gagnante

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Les héros imaginés par Beatrix Potter sont de retour pour une nouvelle aventure mélangeant prises de vue réelles et images de synthèse.

On ne change pas une formule gagnante: trois ans après, Pierre Lapin et les héros imaginés par Beatrix Potter sont de retour pour une nouvelle aventure mélangeant prises de vue réelles et images de synthèse. Béa (Rose Byrne) et Thomas (Domhnall Gleeson) sont désormais mariés, ce qui ne fait guère les affaires du lapin malicieux, dont les histoires dessinées par Béa connaissent un succès n’ayant pas échappé à Nigel (David Oyelowo), un éditeur aux dents longues. Circonstances conduisant la petite famille à Gloucester, ville offrant sensiblement plus de possibilités que le potager de McGregor… Et cadre d’aventures trépidantes, relevées de ce qu’il faut de second degré pour brasser au-delà du (très) jeune public.

Comédie familiale. De Will Gluck. Avec Domhnall Gleeson, Rose Byrne, David Oyelowo. 1h33. Sortie: 23/06. ***

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