On the Bowery

Se réclamant aussi bien de Robert Flaherty que du néoréalisme italien, Lionel Rogosin inscrit, en 1956, la fiction minimaliste de On the Bowery dans un horizon documentaire. Soit, filmée en noir et blanc, l’histoire de Ray, cheminot de retour de Jersey arpentant l’artère fracassée du bas de Manhattan de bar en bar pour échouer à même le pavé, partageant le sort des oubliés de la vie. Et, ancré dans une réalité blême, du cinéma-vérité rageur dans son expression et humaniste dans ses intentions.

Lionel Rogosin, 1956

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