Extrémisme de gauche: entre protestation et terreur

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Rien qu’en 2017 ont été recensés 250 actes de violence commis par l’extrême gauche à Berlin. Le double du score réalisé par l’extrême droite. Ses cibles favorites? Les bureaux de partis politiques, l’administration, les chemins de fer… Anticapitalisme, antifascisme, antiracisme, antimilitarisme, antisexisme, antigentrification et antirépression. Les cibles potentielles sont nombreuses.

Composite, organisée en réseau au niveau européen et aguerrie au combat, la gauche radicale se fait de plus en plus violente ces dernières années. Ses adeptes se voient comme les précurseurs d’une société plus juste. Et hésitent de moins en moins à employer la force, souvent aveugle, pour essayer de s’en rapprocher. Mais que cache l’extrême gauche? Qui sont ses militants? Que recherchent-ils? Que représentent-ils comme danger malgré leur cause séductrice et rassembleuse? Beaucoup moins étudiés que les fanatiques de l’extrême droite, les extrémistes de gauche se font ici raconter par des politologues, policiers et psychologues. Éclairant.

Documentaire de Rainer Fromm.

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