To the ones I love, le dernier tube de la Compagnie Thor

© MF Plissart

La couleur noire de onze danseurs d’origine africaine sur une scène blanche, avec une musique de Bach déliée, c’est la volonté explicite de To the ones I love, la dernière chorégraphie 2010 de Thierry Smits (Compagnie Thor).

Comme son précédent D’Orient, To The Ones I Love danse sur le fil de l’atmosphère et de la beauté des danseurs. La chorégraphie abstraite s’est créée, souligne Thierry Smits, dans « une approche purement esthétique, du plaisir de danser, de faire bouger des corps rompus aux techniques chorégraphiques occidentales, mais néanmoins façonnés par d’autres traditions et d’autres danses ».

Pas d’histoire donc, la chorégraphie est inspirée des individus, de leur plastique, de leur parcours culturel, en dialogue plutôt qu’en confrontation. L’envoûtement risque d’être au rendez-vous, « sans concession à l’exotisme ou au propos politique, mais délibérément esthétique ». Sûr, avec onze danseurs noirs sur une scène blanche..

Pas étonnant, qu’à Wolubilis, le 4 et 5 avril, le sold out est déjà annoncé. Mais la tournée continue en Europe et le spectacle revient au pays en décembre entre Arlon et Bruxelles. Thierry Smits a encore signé un « tube ».

To the ones I love, compagnie Thor (Thierry Smits), les 4 et 5 avril à Wolubilis.
www.thor.be

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Nurten Aka

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