Critique

La Mer à boire

DRAME | Sa petite entreprise ne connaissait pas la crise. Mais de sombres nuages viennent menacer l’optimisme de Georges, patron d’un chantier naval spécialisé dans les bateaux de plaisance.

La Mer à boire, drame de Jacques Maillot. Avec Daniel Auteuil, Maud Wyler, Yann Tregouët. 1h38. Sortie: 29/02. ***

DRAME | Sa petite entreprise ne connaissait pas la crise. Mais de sombres nuages viennent menacer l’optimisme de Georges, patron d’un chantier naval spécialisé dans les bateaux de plaisance. Cerné par ses créanciers, lâché par sa banque, il se verra contraint de prendre des mesures d’économie drastiques, que son personnel n’acceptera pas sans lutter… Jacques Maillot (Nos vies heureuses, Les Liens du sang) aborde le cinéma social par son versant intime plus qu’idéologique, et sous l’angle de la chute d’un patron dévoué, un tantinet paternaliste et passéiste. Un personnage qu’habite un Daniel Auteuil inspiré, révélant forces et faiblesses avec des nuances subtiles. Quelques poussées d’imaginaire enrichissent le film, qui ne se pose pas moins en reflet implacable, terrible même, d’une économie et d’une société en crise.

L.D.

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