Critique

End of Watch

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Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

POLAR | Il est impressionnant, électrisant, ce polar où David Ayer (Street Kings) joue la carte de l’ultra-réalisme en se servant de multiples caméras placées dans l’environnement direct des personnages.

POLAR DE DAVID AYER. AVC JAKE GYLLENHAAL, MICHAEL PENA, AMERICA FERRARA. 1H48. SORTIE: 05/12. ***

POLAR | Il est impressionnant, électrisant, ce polar où David Ayer (Street Kings) joue la carte de l’ultra-réalisme en se servant de multiples caméras placées dans l’environnement direct des personnages. Caméras de surveillance, caméscopes, caméras de bord des voitures de police, sont notamment conviées pour multiplier les regards sur la chronique du travail de deux flics de Los Angeles confrontés à la violence marquant les quartiers les plus mal famés de la ville. Les regards, mais pas forcément les points de vue, tous les éléments du récit contribuant à délivrer un éloge inconditionnel ou presque de l’action policière. Une option qui n’empêche pas End of Watch de faire un spectacle inventif et prenant, remarquablement interprété par Jake Gyllenhaal et l’acteur latino qui monte, Michael Pena.

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