Critique

[Critique ciné] Wallay, attachant par son humanisme et sa générosité

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Cinéaste helvéto-burkinabé venu du documentaire, Berni Goldblat fait ses premiers pas dans la fiction.

[Critique ciné] Wallay, attachant par son humanisme et sa générosité

Ady, son gamin de 13 ans, filant du mauvais coton dans leur banlieue française, son père décide de l’envoyer passer un été chez son oncle Amadou, au Burkina Faso, avec mission pour ce dernier de le remettre dans le droit chemin. Soit le début d’un voyage initiatique où, à la rudesse du choc initial -Ady n’en fait qu’à sa tête dans un horizon auquel il n’entend pas grand-chose-, succédera la découverte progressive de ses racines et de son identité, apprentissage qui l’amènera à reconsidérer sa façon d’envisager l’existence… Cinéaste helvéto-burkinabé venu du documentaire, Berni Goldblat fait ses premiers pas dans la fiction à la faveur de Wallay. Sans faire l’économie d’un scénario plutôt convenu, ni d’une certaine naïveté, le film se révèle attachant, valant tant par son humanisme que sa générosité.

De Berni Goldblat. Avec Makan Nathan Diarra, Ibrahim Koma, Hamadoun Kassogué. 1h24. Sortie: 31/01. ***

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