Critique

[Critique ciné] Vincent, tantôt lumineux, tantôt insistant

Spencer Bogaert dans Vincent de Christophe Van Rompaey. © DR
Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Un portrait en mouvement d’un adolescent idéaliste (Spencer Bogaert), mal dans un monde qui trahit son amour de la nature.

Annoncé sous le titre Vincent et la fin du monde, le film de Christophe Van Rompaey sort finalement sous celui de Vincent. Effet du nouveau Xavier Dolan primé à Cannes Juste la fin du monde? La réduction au seul prénom du héros ne fait que souligner la dimension de portrait en mouvement d’un récit mettant un adolescent idéaliste (Spencer Bogaert), mal dans un monde qui trahit son amour de la nature, et qu’une tante un peu fantasque (Alexandra Lamy) fera renoncer à se sacrifier pour sa cause. Tantôt lumineux, tantôt insistant, Vincent mérite la découverte.

De Christophe Van Rompaey. Avec Spencer Bogaert, Alexandra Lamy, Barbara Sarafian. 2h03. Sortie: 31/08. ***

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