Critique

[Critique ciné] The Glass Castle, allergiques à la poussière s’abstenir

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

DRAME | Vraie, l’histoire évoque furieusement celle du récent Captain Fantastic.

[Critique ciné] The Glass Castle, allergiques à la poussière s'abstenir

Chroniqueuse mondaine new-yorkaise, Jeannette Walls (Brie Larson) fait mystère d’une enfance iconoclaste passée sur les routes au sein d’une famille farouchement anti-système vivant de chimères et d’eau fraîche. À la barre, le réalisateur du très surestimé Short Term 12, qui avait révélé Larson en 2013, survole son sujet avec l’ambition esthétique d’un téléfilm du dimanche. Côté casting, si Woody Harrelson fait souvent des merveilles en paternel fantasque placé face à ses propres contradictions, Naomi Watts passe, elle, complètement à côté de ce mélo familial sans éclat à l’articulation présent-passé laborieuse. Allergiques à la poussière s’abstenir.

De Destin Daniel Cretton. Avec Brie Larson, Woody Harrelson, Naomi Watts. 2h07. Sortie: 27/09. **

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content