Critique

[Critique ciné] Rosie & Moussa, à la limite du mièvre

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Un petit film optimiste mais sympathiquement convenu.

[Critique ciné] Rosie & Moussa, à la limite du mièvre

Rosie et sa mère emménagent dans un immeuble de Molenbeek. Très vite, la gamine se liera avec un jeune voisin et camarade d’école, Moussa. Leur relation, et le contexte socio-culturel dans laquelle elle progresse, inspirent à Dorothée Van Den Berghe (Meisje, My Queen Karo) un petit film optimiste, porteur d’espoirs métissés. Mais hormis Savannah Vandendriessche, attachante interprète de Rosie, les acteurs manquent de justesse, en faisant trop ou pas assez. Un doublage français calamiteux n’arrange rien. Et la réalisation s’occupe moins de vérité que de conformité à un discours pré-formaté, oubliant le cinéma au passage. Ce qui pourrait (devrait) être frais, solaire, n’est que sympathiquement convenu. À la limite du mièvre.

De Dorothée Van Den Berghe. Avec Savannah Vandendriessche, Imad Borji, Ruth Beeckmans. 1h30. Sortie: 31/10. **(*)

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