Critique

[Critique ciné] Mademoiselle de Joncquières, drôle et grave à la fois

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

DRAME | Le nouveau film d’Emmanuel Mouret est plein d’esprit et de justesse sur les rapports entre les sexes.

[Critique ciné] Mademoiselle de Joncquières, drôle et grave à la fois

Les films contemporains d’Emmanuel Mouret ont toujours eu un petit côté XVIIIe siècle. Rien d’étonnant dès lors de voir aujourd’hui le talentueux auteur (et souvent acteur) de Changement d’adresse, Un baiser s’il vous plaît et Fais-moi plaisir! situer à cette époque son nouveau film, des plus plaisants au demeurant. Adapté librement du récit de Diderot, extrait de son Jacques le Fataliste et son maître, Mademoiselle de Joncquières chronique la vengeance d’une femme (Cécile de France) contre un marquis libertin (Edouard Baer) qu’elle entraîne dans un piège habile, avec l’aide d’une femme déclassée et de sa ravissante fille (la demoiselle du titre). C’est drôle et grave à la fois, plein d’esprit et de justesse sur les rapports entre les sexes.

De Emmanuel Mouret. Avec Cécile de France, Edouard Baer, Alice Isaaz. 1h49. Sortie: 12/09. ***(*)

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