Critique

[Critique ciné] Les Bonnes intentions, une satire qui fait pschitt

Louis Danvers
Louis Danvers Journaliste cinéma

COMÉDIE DRAMATIQUE | Agnès Jaoui vibre à l’unisson d’un spectacle parfois drôle, mais où les bons sentiments et la démagogie étouffent une matière humaine.

[Critique ciné] Les Bonnes intentions, une satire qui fait pschitt

Isabelle est une professionnelle de la solidarité. Professeure de français dans un centre d’aide sociale, elle consacre son temps libre à d’autres actions pour les démunis, les migrants, les exclus. Au point que son mari (rencontré en Bosnie lors d’une opération humanitaire) et ses enfants en viennent à mal ressentir ses absences, son sentiment que tout va bien dans une famille qui ne manque -à ses yeux- de rien… Agnès Jaoui joue de manière engagée une héroïne qui ne l’est pas moins. Elle vibre à l’unisson d’un spectacle parfois drôle (mais pas assez souvent), mais où les bons sentiments et la démagogie étouffent une matière humaine servant à instrumentaliser un discours. Par ailleurs filmé très médiocrement. Une satire qui fait pschitt.

De Gilles Legrand. Avec Agnès Jaoui, Alban Ivanov, Tim Seyfi. 1h43. **

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