Critique

[Critique ciné] Goden van Molenbeek, bien trop artificiel

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Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

DOCUMENTAIRE | Un documentaire identitaire littéralement filmé à hauteur d’enfants.

De « l’autre côté du canal », le film cueille Aatos et Amine, deux amis âgés de six ans que tout semble devoir opposer -l’un est d’origine finlandaise, l’autre marocaine; l’un vient d’un milieu athéiste, l’autre islamiste-, au moment du double attentat de Bruxelles. Traversé par la question du vivre-ensemble, Goden van Molenbeek, documentaire identitaire littéralement filmé à hauteur d’enfants et à l’évident sens de l’image, repose sur l’idée pas forcément fallacieuse que la vérité sort de la bouche des bambins. Le côté mignon/naïf a ses limites, toutefois, et le monothématisme divin de leurs jeux et de leurs discussions apparaît ici bien trop artificiel.

De Reetta Huhtanen. 1h22. Sortie: 20/03. **(*)

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