Bruno, mon pote, mon copain, mon frangin, tu me tiens chaud

© DR

Victor, un patron de magazine auto, accepte d’aider un jeune détenu passionné par les bagnoles à se réinsérer en l’employant dans son journal. Histoire d’amitié virile, « Mon Pote » reste un film plaisant même si on aurait pu attendre un Marc Esposito un poil plus audacieux.

Patron d’un magazine consacré à l’automobile, Victor parle de son travail dans une prison quand un jeune détenu vient le trouver. S’il lui donne un job, Bruno, qui connaît à merveille le sujet des voitures, en plus d’en avoir volé, pourra obtenir un régime de semi-liberté… C

omment l’homme de presse aidera le prisonnier à se réinsérer, et comment le second voudra lui rendre ses bienfaits à sa façon, Mon pote le raconte assez plaisamment. Edouard Baer, très bien dans son rôle, et un Benoît Magimel crédible dans le sien forment un tandem efficace sur le double terrain de l’amitié virile et de l’ambiguïté morale. Marc Esposito, qui aida lui-même un détenu quand il était au magazine Première, filme un peu mollement cette histoire qui aurait pu l’emmener vers plus d’audace et un peu moins de bons sentiments.

Mon pote, comédie de Marc Esposito, avec Edouard Baer, Benoît Magimel, Atmen Kelif. 1h45.

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L.D.

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