Critique

[critique ciné] Murder Party: tout tombe à plat

Nicolas Clément
Nicolas Clément Journaliste cinéma

Tentative de stylisation pop qui fait mal aux yeux, problèmes de rythme et de casting, mise en scène poussiéreuse, humour ringardissime, dialogues mal déclamés à l’avenant…

« Si tu ne joues pas, tu meurs. » Rien à sauver dans ce mauvais petit théâtre de boulevard filmé qui orchestre une espèce de Cluedo géant mâtiné d’escape game dans un manoir appartenant à une famille dysfonctionnelle à la tête d’un véritable empire du jeu de société. Tentative de stylisation pop qui fait mal aux yeux, problèmes de rythme et de casting, mise en scène poussiéreuse (pour ne pas dire inexistante), humour ringardissime, dialogues mal déclamés à l’avenant… Tout tombe à plat et se traîne devant la caméra de Nicolas Pleskof, primo-réalisateur français qui se réclame sans complexe de Douglas Sirk, d’Alfred Hitchcock, de Wes Anderson et de François Ozon. C’est peu dire qu’on a mal à notre cinéphilie…

De Nicolas Pleskof. Avec Alice Pol, Eddy Mitchell, Miou-Miou. 1h43. Sortie: 09/03. *

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