James Gandolfini est mort, sa carrière en six films cultes (vidéos)

FocusVif.be Rédaction en ligne

James Gandolfini est mort mercredi, d’une crise cardiaque, en Italie, à l’âge de 51 ans. Abonné aux second rôles au cinéma, il s’était fait connaître en chef de famille névrosé dans la série Les Soprano. Retour sur sa carrière en six vidéos.

Il avait déjà promené sa gueule et sa silhouette de grand bulldog menaçant, sa voix nasillarde surtout, dans quelques blockbusters hollywoodiens, mais c’est à son rôle de Tony Soprano, le chef de famille mafieux et névrosé de la série éponyme, que James Gandolfini, victime d’une crise cardiaque mercredi en Italie, devait son immense notoriété et la poignée de Golden Globes et de Emmy Awards qui décoraient son salon.

Dans Les Soprano, il était énorme, dans tous les sens du terme, à la fois terrifiant et émouvant, père préoccupé et capo impitoyable, passant en l’espace d’une scène des larmes et du divan de sa « schrink », sa psy, à son club et à quelques meurtres de sang froid qui resteront dans l’histoire de la télévision.

Mais avant (ou après), il avait fait ça…

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Dans True Romance, l’un des seuls films supportables de Tony Scott (merci Quentin Tarantino!), James Gandolfini joue évidemment un méchant très inquiétant, un homme de main sans état d’âme -ce qui, en soi, le différencie de son rôle de Tony Soprano.

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Dans Get Shorty, de Barry Sonnenfeld, il est The Bear, l’Ours, et ça lui va bien. Là encore, toute barbe dehors, Gandolfini est le vilain qui fait peur. Enfin, qui est censé faire peur…

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Dans 8 mm, de Joel Schumacher, James Gandolfini, plus que jamais calé dans son rôle de faire-valoir, joue un producteur de snuff movies, qui va déclencher la colère de Nicolas Cage -et ça n’est jamais bon de déclencher la colère de Nicolas Cage.

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Petit rôle dans un grand film, encore, celui de Big Dave Brewster dans le bizarroïde The Barber, des frères Coen. Au cinéma, James Gandolfini a rarement occupé l’avant-scène.

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Même remarque pour Zero Dark Thirty, le film crépusculaire de Kathryn Bigelow, où il fait une brève apparition dans la peau de Leon Panetta, le patron de la CIA qui donna son feu vert à l’assassinat de Ben Laden.

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Et pour terminer, naturellement, pour la bonne bouche, une scène culte des Soprano, un vol de bouteilles de bon vin sur fond de All Right Now, le tube de Free, qui commence dans la rigolade, se poursuit dans la fusillade et s’achève comme il se doit au restaurant.

Eric Mettout (LEXPRESS.fr)

(source)

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