Filmer à tout prix: 155 films du 5 au 15 novembre

Du 5 au 15 novembre, le festival Filmer à tout prix diffusera 155 films. © Filmer à tout prix

Le festival Filmer à tout prix revient du 5 au 15 novembre pour une 16e édition « dans la continuité des autres: curieuse, exploratrice, exigeante », comme l’exprime Renaud Bellen, directeur de l’asbl GSARA, organisatrice du festival.

Outre la compétition d’oeuvres belges et internationales, cette année 155 films seront projetés selon différents thèmes.

Le Panorama belge s’attardera sur les meilleurs documentaires du plat pays. Selon le festival, « les films programmés dans cette section panoramique révèlent des aspects fondamentaux du cinéma documentaire ». No Home Movie, le dernier film de Chantal Akerman sera diffusé à cette occasion.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Afriques en rhizome explorera le cinéma africain contemporain depuis un point de vue interne au continent avec des sujets tels que la colonisation, l’apartheid ou l’identité africaine. Le but de cette programmation est de prendre conscience des réalités à travers un autre regard que celui des ONG.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Live your films (focus sur le cinéma tchèque) présentera « le caractère tout à fait unique » du cinéma tchèque « à travers une sélection très diverse de courts et longs métrages produits au cours des 50 dernières années », explique le festival.

Le parti pris des objets, en partenariat avec la Cinematek, développera la place des objets dans le cinéma. « Nous sommes tout le temps entourés d’objets qui ont une grande importance, raconte Stefanie Bodien, en charge de cette programmation. On ne s’en rend pas compte. Même dans les films, on oublie la place des objets. » Histoire d’amour avec une petite cuillère, archéologues à la recherche d’objets enfuis ou syllogomanie (accumulation compulsive d’objets) ne seront pas en reste.

Performances sera l’occasion de voir à l’écran une relecture musicale de trois films muets par la violoniste, compositrice et comédienne Catherine Graindorge. La conférence Open Core de Julien Maire, où l’homme dissèque des appareils de projection, sera également présentée.

Un hommage sera présenté à Chantal Akerman en raison de sa disparition récente. I don’t belong anywhere, de Marianne Lambert, et Chantal Akerman, de cá de Gustavo Beck seront ainsi diffusés.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Homeland, le film de plus de 5h réalisé par Abbas Fahdel sera projeté pour la première fois en Belgique lors du festival. Acclamé par la critique, l’histoire raconte la vie d’une famille iraquienne avant et après le passage des forces américaines.

N’oublions malgré tout pas la compétition qui verra de nombreux films belges concourir comme La Légende dorée, d’Olivier Smolders, Thing, de Anouk De Clercq ou Yaar, de Simon Coulibaly Gillard. Du côté international, O Futebol, de Sergio Oksman, Commes des lions, de Françoise Davisse et Contre-pouvoirs de Malek Bensmaïl, pour ne citer qu’eux.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Partner Content