Critique | Cinéma

[critique ciné] À l’ombre des filles: le pouvoir libérateur du chant

Jean-François Pluijgers
Jean-François Pluijgers Journaliste cinéma

Après Django, le biopic qu’il consacrait en 2017 au guitariste, Étienne Comar poursuit dans une veine musicale avec À l’ombre des filles (lire notre interview). Traversant une grave crise personnelle, Luc (Alex Lutz), un chanteur lyrique, accepte d’animer un atelier de chant dans un centre de détention pour femmes. Pour voir ses bonnes intentions mises à l’épreuve de la réalité carcérale et du caractère bien trempé de ses élèves. S’il évoque forcément Un triomphe d’Emmanuel Courcol, À l’ombre des filles n’en suit pas moins une partition propre, la prison offrant un cadre métaphorique au pouvoir libérateur du chant. Proposition portée par un casting impeccable (Lutz, mais aussi Veerle Baetens, Hafsia Herzi ou Agnès Jaoui), même si Étienne Comar peine parfois à tenir la note, le film tendant à s’éparpiller…

Comédie dramatique. D’Étienne Comar. Avec Alex Lutz, Agnès Jaoui, Veerle Baetens. 1 h 46. Sortie: 13/04. ***(*)

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