Critique | Musique

Barbara Carlotti – L’amour, l’argent, le vent

CHANSON | « Et toi tu couches avec cette conne? » Ben oui, ce qui cause visiblement du chagrin à la fille qui pose la question, pendant femme de la galaxie Bertrand Burgalat-Philippe Katerine.

Barbara Carlotti, L’amour, l’argent, le vent, distribué par Pias. ***

CHANSON | « Et toi tu couches avec cette conne? » Ben oui, ce qui cause visiblement du chagrin à la fille qui pose la question, pendant femme de la galaxie Bertrand Burgalat-Philippe Katerine. Le premier a bidouillé son album inaugural en 2005, le second accomplit sur celui-ci un duo frichti-frotta, le tout est numéro 4 d’une discographie à mi-chemin entre la diction de Barbara et le culot de Brigitte Fontaine, en moins autoparodique. Carlotti promène son teint lyrique sur une électro-chanson aux textes absurdo-existentiels, réglementée par des arrangements millimétrés et des cordes jouissives. Cela demande un peu de capacité d’absorption, mais cette fille « aux paupières pleines de givre », armée d’une délicieuse grosse voix, pourrait bien faire l’été et même l’hiver.

Ph.C.

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