Critique

La Maison du Dr Edwardes

Grande soirée Ingrid Bergman sur Arte avec, après le captivant thriller d’Hitchcock où elle est sublime, 2 documentaires consacrés à la merveilleuse actrice suédoise.

LA MAISON DU DR EDWARDES, THRILLER D’ ALFRED HITCHCOCK. AVEC INGRID BERGMAN, GREGORY PECK, MICHAEL CHEKHOV. 1945. ****

Ce dimanche 26 février à 20h40 sur Arte.

Grande soirée Ingrid Bergman sur Arte avec, après le captivant thriller d’Hitchcock où elle est sublime, 2 documentaires consacrés à la merveilleuse actrice suédoise, et à ses relations personnelles et créatives avec le cinéaste italien Roberto Rossellini. Dans La Maison du Docteur Edwardes (Spellbound en v.o.), Bergman interprète une doctoresse qui travaille dans un établissement psychiatrique. Son directeur va passer la main à un jeune praticien de belle réputation, le docteur Edwardes. Très vite, Constance va réaliser que l’homme (joué par Gregory Peck) n’est pas celui qu’on croit, mais un amnésique… soupçonné d’avoir assassiné le docteur! La jeune femme l’aidera dans sa quête de mémoire, et aussi à découvrir s’il est bien le criminel ou si le coupable n’est pas en fait un autre… La Maison du Docteur Edwardes est un modèle de thriller psychologique, psychiatrique même, qui entraîne le spectateur dans un suspense haletant et dans un vertige que la prestation intense de Peck épouse fiévreusement. Salvador Dali signe la séquence de rêve du film, une curiosité d’une oeuvre où Ingrid Bergman est simplement lumineuse. A voir ou à revoir, avant de regarder les documentaires qu’Arte nous offre dans la foulée.

Louis Danvers

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