Critique

Justin Bieber: Never Say Never

Pourquoi s’infliger un documentaire sur la pire tête à claques de ces dernières décennies? Parce que Justin Bieber, c’est plus que ça. Si.

JUSTIN BIEBER: NEVER SAY NEVER, DOCUMENTAIRE DE JON CHU. ***
Ce mardi 3 avril à 20h50 sur Be 1.

Pourquoi s’infliger un documentaire sur la pire tête à claques de ces dernières décennies? Parce que Justin Bieber, c’est plus que ça. Si. Plus qu’un casque de cheveux châtains (qu’il coiffe d’ailleurs autrement depuis des mois) surplombant une baby face qui ânonne des chansons à destination d’arriérés mentaux -ou d’enfants, enfin, c’est pareil, non?

Justin Bieber, c’est le rêve américain. Même s’il est canadien. Un gamin pas spécialement mignon, pas nécessairement plus talentueux qu’un autre, mais solidement entreprenant, et poussé par une mère aux grandes ambitions. Ce film tout à sa gloire postule qu’il ne faut jamais dire jamais, et que dans la vie, tout est possible. Il donne aussi à voir, à travers des archives familiales et des triomphes sur la scène internationale, comment on fabrique une star, et comment celle-ci peut encore être une individualité. Ce qui, au final, même pour ceux qui ont envie de souffleter Bieber, est loin d’être inintéressant.

My. L.

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