Voilà, il arrive. Il arrive le moment que les footeux férus, furieux, frappadingues attendent, tout en le redoutant un peu: l’apothéose d’un grand tournoi, dont la particularité est, une fois terminé, de se refaire attendre pendant une paire d’années.
EURO 2012: LA FINALE, PRÉSENTÉ PAR VINCENT LANGENDRIES ET PHILIPPE ALBERT.
Ce dimanche 1er juillet à 20h30 sur La Une.
Voilà, il arrive. Il arrive le moment que les footeux férus, furieux, frappadingues attendent, tout en le redoutant un peu: l’apothéose d’un grand tournoi, dont la particularité est, une fois terminé, de se refaire attendre pendant une paire d’années. On connaîtra donc le champion d’Europe 2012. Le pays qui sera parvenu à chiper la couronne à l’Espagne. Pour peu que ce ne soit pas l’Espagne elle-même qui reboive le champagne dans cette même coupe.
Les Petit Poucet sont passés à l’abattoir et seules les grandes nations du foot peuvent encore y croire. On va donc, comme il se doit, avancer nos pronostics. Ceux du coeur d’abord: l’Espagne, emmenée par ces génies d’Iniesta et Xavi, remettrait le couvert, en s’engageant dans une série (Euro, Mondial, Euro) éblouissante. Ceux de la raison ensuite: l’Italie, passée en quarts par la douloureuse et grisante épreuve des pénaltys, dispose d’un effectif assez homogène.
Verdict à Kiev ce 1er juillet, sous les yeux de Vincent Langendries et Philippe Albert qui, malgré les commentaires un brin monolithiques du Bouillonnais, ont l’avantage de ne pas être Rodrigo Beenkens et Marc Wilmots.
G.V.
