Critique

[À la télé ce soir] Iggy Pop, the last nightclubbing

Iggy Pop © DR
Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

Ce concert de deux heures filmé par Don Kent voit Iggy et la Dream Team de Post Pop Depression passer en revue leur disque commun et les classiques de sa période berlinoise The Idiot et Lust for Life

Le site Internet du mastodonte de l’été festivalier belge est plutôt évasif sur la question, mais on l’apprenait il y a quelques semaines: l’Iguane se produira à Rock Werchter sans le supergroupe qui l’accompagne sur son tout bon et berlinois dernier album Post Pop Depression. Pas de Matt Helders des Arctic Monkeys ni de Josh Homme qui a produit et cofinancé la bête. Ce privilège restera réservé en Europe aux premières dates (déjà passées) de sa tournée. Cette tournée sur le Vieux Continent, Iggy l’a entamée le 2 mai sur les plateaux de Canal+. Dans la foulée d’Avenue B (1999), Pop avait déjà donné un concert jazz exceptionnel dans le studio de Nulle Part Ailleurs, en costard, entouré de Chrissie Hynde, Vanessa Paradis et même Johnny Depp. Il était ensuite repassé par la chaîne cryptée en 2009 dans l’émission de la fille de Caunes (La Musicale en prime time) au moment de son vilain album Préliminaires inspiré par La Possibilité d’une île de Michel Houellebecq. Enchaînant les duos avec Ringer, Biolay, Eicher, Dombasle… Troisième et dernier Nightclubbing in Paris, ce concert de deux heures filmé par Don Kent voit Iggy et sa Dream Team passer en revue leur disque commun et les classiques de sa période berlinoise (The Idiot et Lust for Life). Le gig sera suivi d’une interview de monsieur Osterberg et du leader des Queens of the Stone Age (son nouveau David Bowie) par Antoine de Caunes. We will have a real cool time…

CONCERT.

Ce samedi 4 juin à 23h00 sur Be 1.

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