Critique | Musique

Beirut – The Rip Tide

POP | Quatre ans après la sortie de The Flying Club Cup, l’heure est enfin venue de retrouver l’univers sépia de Beirut, le monde enchanteur de Zach Condon et son défilé d’instruments…

POP | Quatre ans après la sortie de The Flying Club Cup, l’heure est enfin venue de retrouver l’univers sépia de Beirut. Le monde enchanteur de Zach Condon et son défilé d’instruments où le piano parade avec la trompette, le trombone discute avec le violoncelle, l’accordéon flirte avec le ukulélé. Clarinette, tuba, glockenspiel, violon et autre synthé se mêlent à la sarabande et peuplent la musique symphonique des Américains. Une écriture plus pop a beau lui ôter une partie de ses charmes, l’éloigner de ses sonorités balkaniques, de ses marches funèbres mexicaines (l’EP March of the Zapotec est sorti en 2009), Beirut reste Beirut et Zach Condon, qui aime le contre-courant (Riptide) a toujours le don de trousser de jolies chansons. Un bon disque. Plus un coup de maître.

J.B.

Beirut, The Rip Tide, distribué par Pompeii Records. ***

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