Critique | Musique

Rozi Plain – Joined Sometimes Unjoined

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

POP | Le folk n’est pas toujours plan-plan et pleurnichard. Déprimé et peine-à-jouir. Il peut aussi se faire pétillant, joueur et, tout en restant apaisé, joliment excentrique.

ROZI PLAIN, JOINED SOMETIMES UNJOINED, DISTRIBUÉ PAR TALITRES. ***

POP | Le folk n’est pas toujours plan-plan et pleurnichard. Déprimé et peine-à-jouir. Il peut aussi se faire pétillant, joueur et, tout en restant apaisé, joliment excentrique. Le deuxième album de l’Anglaise Rozi Plain, alias Rozalin Leyden, n’est pas sans rappeler Fránçois and the Atlas Mountains. Et tiens tiens, François Marry a participé à son enregistrement bristolien. Au même titre soit dit en passant que Kate Stables (This Is the Kit), Jesse Vernon (Morning Star), Rachael Dadd, Markland Starkie (Sleeping States) et Mathieu Hauquier (Botibol). Joined Sometimes Unjoined est un disque fragile et délicieux. Joyeux et mélancolique. Devendra Banhart est tombé sous le charme. Nous aussi.

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