Critique | Musique

The Relatives – The Electric Word

Julien Broquet
Julien Broquet Journaliste musique et télé

SOUL/FUNK/FUSION | Créés à Dallas en 70 par le révérend Gean West et son frère Tommie, les Relatives s’étaient rangés des voitures 10 ans plus tard après une poignée de singles boudés par le succès.

THE RELATIVES, THE ELECTRIC WORD, DISTRIBUÉ PAR V2. ***

SOUL/FUNK/FUSION | Créés à Dallas en 70 par le révérend Gean West et son frère Tommie, les Relatives s’étaient rangés des voitures 10 ans plus tard après une poignée de singles boudés par le succès. Reformé suite à la sortie d’une anthologie, Don’t Let Me Fall, compilant en 2009 ses trois 45 tours et une session d’époque jamais rendue publique, le groupe texan dévoile aujourd’hui son premier véritable album. Composé de vieux titres et de nouvelles chansons, enregistré et produit par Jim Eno, le batteur de Spoon, The Electric Word donne dans le gospel funk, le rock psychédélique noir et la soul squette-braguette. Un peu comme si James Brown, Funkadelic, Sly Stone, Fishbone, Prince… tapaient un boeuf à l’église. Et que Charles Bradley s’invitait à la célébration dans son costard du dimanche. Cinquante ans de black music condensés.

WWW.THERELATIVES.COM

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